Toutes les illustrations sont bouclées et voici la dernière de la tranche de sept.
Ici vous avez le dessin, puis la photo et le scan qui, même s’ il est plus détaillé, ne rend pas la justice à l’or derrière le roi Philippe Auguste.
Pour reproduire vraiment l’image, il faut la photographier proprement illuminée, pour capturer cette lueur caractéristique.
Mais même fait dans un studio par un vrai pro, ça ne peut pas remplacer la beauté d’original dans les mains – chaque petite rotation d’angle fait courir la lumière à travers la surface dorée…
C’est cette sensation chaude qui nous attire à l’or pendant les siècles, j’imagine.